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L’initiative du mois : Avec MoCity, les acteurs du commerce international sont connectés (communiqué de Presse Pro)

L’initiative du mois : Avec MoCity, les acteurs du commerce international sont connectés (communiqué de Presse Pro)
L’Initiative du mois d’avril sort demain. Ce nouveau dispositif mis en place par l’association Presse PRO, permet de mettre en valeur un cas pratique de presse professionnelle à travers une fiche synthétique donnant les clés d’opérations originales efficaces.
Ce mois-ci, Le Moci est à l’honneur, venez découvrir comment l’une des plus vieille marque media spécialisée dans le commerce international a lancé son propre réseau social : MoCity.
 
Le Moniteur du Commerce International (Moci) a décidé de passer à l’ère 3.0. Cette revue spécialisée dans le commerce international a lancé en début d’année MoCity, une application qui vise à faciliter les rencontres d’affaires dans le monde entier. Après trois mois d’existence, celle-ci connaît déjà un franc succès.
 
«Vous cherchez un cabinet de recrutement en Inde, un transporteur à Singapour, un logisticien au Cameroun, un avocat à Hong Kong… Vous assistez à un événement et aimeriez entrer en contact avec les personnes qui vous entourent… Vous avez besoin de conseils pour comprendre les enjeux des marchés locaux, identifier les nouvelles opportunités de business… MoCity est votre GPS Business !». Le clip promotionnel de cette application annonce la couleur : avec MoCity, les acteurs du commerce international sont mis en relation grâce à un système de géolocalisation infaillible. «Cette application, téléchargeable sur Android et iPhone, permet d’entrer en contact avec les membres du réseau physiquement présents autour de vous, partout dans le monde», prévient Vincent Lalu, propriétaire du Moci et instigateur du projet. Ainsi, les membres situés dans un périmètre proche peuvent s’échanger des messages en temps réel via une messagerie privée et se rencontrer. «MoCity va faciliter les rencontres d’affaires dans le monde entier, ajoute le patron de presse. Les chiffres parlent en sa faveur : intuitive et gratuite, elle était déjà utilisée par plus de 1 500 opérateurs un mois après son lancement officiel, en France et à l’international.»
 
«Un Tinder Business»
À en croire Vincent Lalu, ce projet était en gestation depuis de nombreuses années. «Quand j’ai racheté le Moci en 2006, l’une de mes priorités était de faire entrer cette revue, l’une des plus anciennes spécialisées dans le commerce international (le premier numéro a été publié en 1883), dans le XXIe siècle. Le magazine fait partie de la mémoire collective mais sentait la naphtaline. Le temps était venu de conquérir la Toile et de créer un réseau de partage d’idées et de bons tuyaux qui conviennent aux acteurs du commerce international». L’idée de ce réseau social, un puissant levier pour gagner en proximité et en modernité, continue de germer. Le concept s’affine un peu plus lorsque Vincent Lalu entend parler dans les médias du site de rencontres Tinder, qui utilise la géolocalisation. «Non, ce n’est pas une blague, Tinder a été une véritable source d’inspiration, un modèle, car MoCity fonctionne exactement sur le même principe, c’est une sorte de Tinder Business», explique-t-il. La rencontre avec Florent Defontis, développeur «de haut vol», et Joy Palacio, chef de projet Web marketing et digital, considérée comme le fer de lance du projet, fait le reste : MoCity voit le jour en janvier 2016.
 
En phase de développement pour devenir un modèle de viralité
La présentation officielle de MoCity a eu lieu le 5 février lors du Forum Afrique — un événement dédié aux investissements français en Afrique coorganisé par le Moci — devant un parterre de 900 personnes. Une opération de communication qui fait florès : «Nous avons enregistré 250 membres à l’issue de ce rendez-vous, assure Vincent Lalu. L’un d’entre eux nous a même confessé que l’application lui avait permis d’être mis en contact avec une personne qu’il souhaitait approcher depuis très longtemps. C’est le plus beau remerciement qu’on puisse me faire». Pour l’éditeur, l’écueil à éviter était de créer une usine à gaz : «On visait la simplicité absolue, c’est le meilleur moyen de toucher un maximum de professionnels».
Aujourd’hui, l’équipe de MoCity s’est engagée dans une phase de développement pour déclencher une mécanique virale et mise sur deux objectifs. L’un est quantitatif : «Nous souhaitons que cet outil soit adopté par les collaborateurs des 150 000 sociétés françaises concernées par l’international», annonce Vincent Lalu. L’autre, culturel car «on entend devenir un référent important pour les professionnels du monde entier». L’ambition n’a pas de frontières pour MoCity.

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