OpenAI a conclu un accord avec des investisseurs qui valorise la start-up à au moins 80 milliards de dollars, d’après un article du New York Times paru vendredi.
Après Le Monde en France, Le Financial Times (FT) et OpenAI, créateur de ChatGPT, ont signé un contrat lundi pour licencier des contenus du quotidien britannique pour la start-up américaine d’intelligence artificielle (IA), qui est accusée par d’autres médias de violation du droit d’auteur.
OpenAI, l’éditeur de ChatGPT, a dévoilé un nouvel outil, baptisé Sora, capable de créer sur simple saisie de texte des vidéos réalistes.
Le gendarme européen de la concurrence va examiner l’investissement de Microsoft dans OpenAI, pionnier de l’intelligence artificielle, signe d’une inquiétude grandissante sur la domination de ce marché crucial par une poignée de géants américains.
OpenAI a créé une équipe dédiée à l’identification et à la prévention des risques liés à l’intelligence artificielle (IA), qui pourra mener à suspendre le lancement d’un modèle d’IA s’il est considéré comme trop dangereux.
L’éditeur Axel Springer conclut un accord financier inédit avec OpenAI, pour fournir des contenus du groupe de médias en réponse aux requêtes d’utilisateurs.
OpenAI a annoncé dans la nuit de mardi à mercredi le retour à sa tête de son cofondateur Sam Altman, quelques jours après son limogeage de la start-up créatrice de ChatGPT.
Débarqué vendredi par OpenAI, repris le samedi et re-débarqué le dimanche, Sam Altam, l’ex-PDG et père de ChatGPT intègre finalement Microsoft, actionnaire à 49% d’OpenAI.
Jusqu’ici, les réponses de ChatGPT à des demandes en langage courant étaient fondées sur une vaste base de données qui remontaient, pour les plus récentes, à août 2021.
Nombre de médias et sites internet ont décidé de bloquer leur accès à GPTBot, un robot aspirateur de données lancé début août par la start-up OpenAI pour alimenter ses modèles d’intelligence artificielle, qu’ils accusent de “piller” leurs contenus.
Confrontée à une baisse de popularité de son service ChatGPT, l’entreprise américaine spécialisée dans l’intelligence artificielle OpenAI vient d’y ajouter une version professionnelle.
OpenAI est accusé d’avoir violé la vie privée de millions d’Américains en volant leurs données personnelles pour entraîner ChatGPT. Dans cette affaire, Microsoft, partenaire de la société, est également désigné comme co-accusé.