La justice a repoussé au 23 mai sa décision en référé dans le litige entre le réseau social X (ex-Twitter) et des médias, dont Le Monde, Le Figaro et l’AFP, qui réclament une rémunération pour l’utilisation de leurs contenus.
La secrétaire d’État au Numérique a dénoncé mercredi une « provocation » après l’annonce lundi par le réseau social X qu’il autorisait désormais officiellement le contenu pornographique sur sa plateforme.
Le réseau social X va avoir droit à une application TV. Aucune date officielle de lancement de X TV n’est encore connue.
Les nouveaux utilisateurs de X (ex-Twitter) devront payer de « petits frais » pour publier sur la plateforme pendant une durée de trois mois. Objectif : lutter contre les bots.
Les utilisateurs du réseau social X (ex-Twitter), ayant plus de 2 500 abonnés vérifiés, reçoivent désormais gratuitement un abonnement Premium, incluant notamment la fameuse coche bleue.
Depuis son rachat par Elon Musk, Twitter devenue X se transforme. Et vite. Chaque semaine, de nouveaux développements sont annoncés. Un objectif : être moins dépendant de la publicité. Laurent Buanec, DG X France et DACH, se confie à TheMediaLeader.tech.
Quatre anciens dirigeants de Twitter ont porté plainte en début de semaine contre Elon Musk, accusant le propriétaire du réseau social de les avoir licenciés pour négligence grave dans l’optique de ne pas leur payer leurs indemnités de départ.
Le tribunal judiciaire de Paris rendra le 14 mai sa décision concernant X, assigné en référé par des groupes de presse français.
Dans le cadre d’une enquête sur l’acquisition de Twitter (devenu X) en 2022, Elon Musk va devoir s’expliquer devant le gendarme boursier américain, la SEC, a ordonné une juge fédérale.
X (ex Twitter), va construire une antenne dédiée à la modération de la plateforme à Austin (Texas, sud) pour lutter contre les contenus liés aux abus sexuels sur mineurs, sujet qui préoccupe les élus américains.
La société X a licencié plus de 1 200 employés dans le monde au sein des équipes chargées de lutter contre les contenus abusifs en ligne, selon de nouveaux chiffres publiés par le régulateur de l’internet australien.
Bruxelles a lancé une « enquête formelle » visant le réseau social X pour des manquements présumés aux règles européennes en matière de modération des contenus et de transparence.